FACEBOOK VOUS A AUTOMATIQUEMENT INSCRIT À LA RECONNAISSANCE FACIALE


http://globalpresse.wordpress.com/2012/07/08/facebook-vous-a-automatiquement-inscrit-a-la-reconnaissance-faciale/

VOILÀ COMMENT DÉSACTIVER CETTE FONCTION.

Nous savons désormais que Facebook est sur le point de faire d’immenses progrès dans le domaine de la reconnaissance faciale, mais que pouvons-nous y faire?

Si vous faites partie de ceux qui souhaitent que leur sympathique réseau social les connaisse le mieux possible, j’ai une bonne nouvelle pour vous: vous n’avez rien à faire du tout.

Facebook active la fonction de reconnaissance faciale par défaut; vous n’avez donc qu’à vous rassoir et laisser vos amis apprendre aux algorithmes de la société comment identifier précisément votre visage sur leurs photos. En fait, il se peut que cela soit déjà le cas, car Facebook utilisait en partie la technologie de Face.com avant l’acquisition.

Comment désactiver la fonction?

Si, à l’inverse, vous êtes encore attaché aux notions désuètes de confidentialité et d’anonymat, ce n’est pas forcément une bonne nouvelle. Vous ne pouvez pas empêcher Facebook de savoir à quoi vous ressemblez grâce aux photos sur lesquelles vous êtes tagué, et si vous ne vous êtes pas déjà désinscrit, il connaît sûrement déjà bien votre tête.

Mais vous pouvez facilement désactiver la fonction qui permet à Facebook d’utiliser ces informations pour faire apparaître votre nom à chaque fois que vos amis téléchargeront une photo de vous.

Sur son blog Naked SecurityGraham Cluley, de la société de sécurité informatique Sophos, explique comment. Son guide pratique est illustré, mais voici les trois principales étapes :

  • 1. Ouvrez vos paramètres de confidentialité de Facebook
  • 2. A côté de «Journal et identification», sélectionnez «Modifier les paramètres»
  • 3. A côté de «qui voit les suggestions d’identification lorsque des photos dans lesquels vous semblez apparaître sont téléchargées», sélectionnez «Personne», puis cliquez sur «OK».

Vers une monétisation de la reconnaissance faciale?

Vous remarquerez que les seuls choix sont «Amis» et «Personne». Sûrement soucieux de l’éventuel revers, Facebook ne vous donne pas la possibilité de laisser des étrangers vous identifier à partir de votre visage –pour l’instant en tout cas.

Et en-dehors de quelques avis comme celui de Jeff Jarvis, il est difficile d’imaginer beaucoup de gens réclamant que cette option soit ajoutée. (Ce qui ne signifie pas que Facebook ne le fera jamais, évidemment).

Dans son post, Cluley s’interroge:

«Si la base de données faciales de Facebook est un concept si génial, pourquoi le réseau ne propose-t-il pas à ses utilisateurs d’activer la fonction en soulignant les raisons pour lesquelles ils doivent le faire?»

Je suppose que c’est une question rhétorique. Comme je l’ai souligné précédemment, Facebook est déjà parvenu à donner de la valeur à ses utilisateurs. Son grand défi, désormais, est que ses utilisateurs aient de la valeur pour ses investisseurs.

On ignore encore comment Facebook compte monétiser la reconnaissance faciale –nul doute qu’il lui faudra être prudent. Dans tous les cas, prévoir l’option «désinscription» permettra à la société de constituer une base de données bien plus importante et plus intéressante que si elle avait demandé aux gens de s’inscrire d’eux-mêmes, comme le fait Google+.

Les jeunes Suisses désertent Facebook


Les jeunes Suisses désertent Facebook

http://www.24heures.ch/high-tech/web/jeunes-suisses-desertent-facebook/story/14568529

Par Simon Koch. Mis à jour le 06.07.2012

Trop de publicité, trop de parents fouineurs, trop d’intrusions dans la vie privée. Les ados sont toujours plus nombreux à se détourner du réseau social.

La présence toujours plus nombreuse d’adultes sur le réseau social le rend immanquablement le site ringard aux yeux des ados.

La présence toujours plus nombreuse d’adultes sur le réseau social le rend immanquablement le site ringard aux yeux des ados.
Image: DR

LE BOUTON «WANT»

Facebook planche sur un cousin du bouton «J’aime»: le bouton «Je veux». C’est ce qu’a découvert Tom Waddington, un développeur web, en fouillant dans les lignes de code du réseau social. Le bouton «Want» ne sera compatible qu’avec les objets, et devrait fournir un outil commercial de premier plan pour les publicitaires et les vendeurs. L’achat d’un objet pourra lui aussi être répercuté sur le réseau social. Gageons que la publication sera automatique, à moins que l’utilisateur ne spécifie le contraire dans ses paramètres de confidentialité.

En Suisse, 10’000 jeunes de moins de 15 ans ont fermé leur compte Facebook ces trois derniers mois. Cette hémorragie vient confirmer une tendance observée depuis le début de l’année par l’agence alémanique Bernet PR. Après une régression de 9% entre janvier et mars, le nombre d’ados suisses inscrits sur le réseau social a encore baissé de 10% au deuxième trimestre, passant de 106’380 à 95’800.

Sur la même période, le site communautaire, qui compte 2,84 millions de comptes actifs dans notre pays, a connu une modeste progression de 0,8%, notamment grâce à l’arrivée d’utilisateurs âgés de 30 ans et plus. Ces chiffres viennent confirmer le tassement de l’audience de Facebook à 901 millions d’utilisateurs.

Facebook est trop généraliste

Comment expliquer ce désamour des plus jeunes pour le réseau de Mark Zuckerberg? Et surtout, où sont-ils allés? Difficile à dire pour l’instant, car aucune étude ne s’est penchée sur ce phénomène encore récent. «Nous n’avons pas constaté de report massif vers Twitter», note Yannick Rochat, observateur attentif des sites communautaires. Doctorant à l’UNIL, il est le cofondateur du Pegasus Data Project, une plate-forme d’étude des réseaux sociaux.

Il est possible que les moins de 15 ans migrent vers des services moins généralistes et moins criblés de publicité que Facebook. Des sites ou des outils de communication plus en phase avec leurs intérêts, comme le jeu en ligne ou le chat. «On sous-estime souvent l’aspect communautaire du jeu en ligne. Les plates-formes actuelles offrent des outils proches des réseaux sociaux», explique Yannick Rochat. Idem pour YouTube. Avec un profil personnalisable, des amis, une messagerie, le site propose bien davantage que le partage de vidéos.

Des réseaux moins intrusifs

Ce retour à l’essentiel pourrait profiter aux réseaux sociaux «light», moins intrusifs et plus faciles à gérer comme Pinterest ou tumblr. Tous deux ont le vent en poupe. Mais de simples applications pour smartphones peuvent aussi tirer leur épingle du jeu. A l’image de WhatsApp, qui permet d’envoyer gratuitement des messages à ses contacts.

Facebook parviendra-t-il à inverser la tendance? Le réseau serait sur le point de s’ouvrir aux moins de 13 ans afin de doper son nombre d’utilisateurs actifs. En attendant, la présence toujours plus nombreuse d’adultes sur le réseau social rend immanquablement le site ringard aux yeux des ados.(Newsnet)



Voila un futur génie: Pour trouver la surface, il faut multiplier le milieu par son centre.

Les banquiers centraux envoient un message jugé “inquiétant”


ça craque quand bor***!!!!!

Technologies qui transforment le plastique en pétrole: “Pourquoi n’est-ce pas utilisé ?”


Pour répondre à la question de ton titre….l’argent, comme d’hab!!!!